jeudi 21 mai 2015

Comment mettre fin à la Françafrique ? En adoptant le Liberté...


Au sujet du revenu d'existence, d'une nouvelle monnaie française (à la place de l'Euro), d'un système redistributeur tout neuf sans inégalités, d'un monde sans chômage, sans inflation et sans déficit...Tout est dans cette vidéo...Et dans mon livre "Revenu inconditionnel d'existence, budget et fiscalité".
-Demandez le via cette adresse (on envoie pas de paiement avant d'avoir reçu le livre).
-Faites appel à mes services pour organiser une soirée présentation-débat en France ou partout ailleurs.
-Pour illustrer la présentation du livre en public, j'ai besoin d'une spécialiste de la PAO, pour faire un petit film très court (cinq minutes en 3 D, représentant la France et les autres pays. Aussi fais-je appel à vos compétences où que vous soyez en France.
https://www.youtube.com/watch?v=NASGbrJuamo
PS : ce livre est modifié en permanence, au gré des fluctuations conjoncturelles et politiques.
Une bonne nouvelle pour nous : la victoire du parti Syriza.
Alors continuons...


Toutes les idées ou suggestions sont les bienvenues...



Présentation de Noura Mebtouche, l’auteur.
Noura Mebtouche est enseignante en économie depuis 15 ans dans l'enseignement agricole, a effectué sa formation à l'institut d'études politiques de Lyon en 1993, a ensuite effectué des études en économie et est, depuis quatre ans chercheuse en économie et en sciences politiques. Elle s'intéresse particulièrement aux nouvelles alternatives économiques.
Présidente de l'association Respublica, mouvement politique, citoyen, elle s'efforce de mettre à jour des réponses aux grandes problématiques qui se posent dans notre république française par l'intermédiaire d'ouvrages d'économie, de droit, ou traitant des grandes thématiques propres à notre société française.
Par l'action aussi en militant de manière active en faveur du RIE et de l'économe réelle et de la démocratie dans le cadre du mouvement citoyen qu'elle a créé : Respublica.
L'ouvrage "RIE, budget et fiscalité" d'environ 200 pages explore l'idée d'une nécessaire mise en place du revenu inconditionnel d'existence en France.


A l'occasion de la sortie de son livre "RIE, budget et fiscalité", Noura Mebtouche propose une présentation suivie d'un débat.
Et si on recevait chacun 700 euros par mois et par individu sans aucune contrepartie ? Une mesure qui apporterait beaucoup d'effets positifs dans notre économie. De la disparition du chômage par la libre activité à la prise en charge d'une solution préventive pour une forte diminution des dépenses de santé, l'Auteur décrira dans ce débat les différentes conséquences attendues d'une telle mesure sur nos problématiques macro-économiques mais aussi sur le bien-être. Davantage, cette mesure doit s'assortir encore, selon l'auteur, d'autres dimensions à caractère de réformes allant de la restauration de notre souveraineté économique par la sortie de la France de la zone Euro et le réalignement monétaire sur les pays les moins avancés afin de restaurer un vrai commerce international, juste et équitable. Le tout sur fond d'écologie. Enfin, c'est l'occasion ou jamais de procéder à la grande réforme tant attendue de notre fiscalité pour qu'elle soit plus juste et de notre système redistributeur.
Le tout sur fond de citoyenneté et de restauration des Valeurs de la République.
C'est aussi un moyen de rendre leur dignité aux individus pour une vraie démocratie et moins de peuple.



Par ailleurs, il existe un autre livre, moins condensé nommé "Travailler plus pour gagner moins". Cet ouvrage argumente autour de la question du travail et de la fin de sa centralité comme valeur sociale.

Bien cordialement.
Noura Mebtouche.

Envoyez moi demandes de renseignements et nouvelles idées...

revolution999@live.fr.

 

Belle aventure que cette exposition sur la Paix dans le Monde qui s'est tenue pendant tout le mois de janvier 2015 à la galerie d'Art l'Antre deux Mondes , rue Stella dans le premier arrondissement de Marseillel. Le vernissage a été très animé et musical, et nous avons pris soin de mettre en lumière le grand escalier de la rue Stella. Les artistes sont nombreux. Dans cette vidéo, chacun présente son travail.
Noura Mebtouche. 
La vidéo a été réalisée par Denis Charles de l'association foutouart, on peut la voir également avec les autres réalisations de ce dernier sur le blog de la même association.
Petit rectificatif : une erreur s'est glissée dans la vidéo : les deux chanteurs fous sont Renaud et Thibaud et non pasArnaud et Thibaud.

Cliquer sur le lien suivant : Vidéo Paix dans le monde au cours Julien.

Selon IIwan Bloch, « une analyse de l’histoire mondiale révèlerait qu’entre l’année 1496 avant J.-C. et l’année 1861 de notre ère, c’est-à-dire sur une période de 3357 ans, il y a eu 227 années de paix et 3130 années de guerre ». (Source Wikipedia).

Africa-fête : pour une Union africaine fondée sur les liens culturels.






Il y a dans Africa-Fête des idées intéressantes qui entretiennent l'idée d'une mixité sociale et de véritables ponts au delà des cultures. Le bilan qu'en fait Victor Faye, organisateur est positif, il va dans le sens d'une avancée au delà des aléas propres à chaque festival.
Caractérisons d'abord ce festival. Court, car il ne dure que trois jours, il est d'abord et avant toute chose, marqué par son faible impact au sein d'une ville de taille importante comme Marseille. On peut ainsi le différencier d'Africajarc chaque été dans le Lot dans la petite ville de Cajarc où chaque année toute la ville se monopolise en faveur de ce festival. (1086 habitants en 2007).
Cela dit, le festival Africa-Fête a su soigner cette année, sa communication, au point de fournir des programmes stylés et abondants en information avec photos ainsi que des affiches points de repère qui marquent l'image du festival et ce malgré l'absence d'un chargé de communication.
Les visiteurs ont été en nombre satisfaisant même si comme nous le dit Victor Faye, l'un des organisateurs : "les gens ont tendance à croire que la musique africaine doit forcément être gratuite, ce qui fait que bon nombre de visiteurs potentiels n'ont pas souhaité payer 10 euros pour l'entrée. Pourtant , 10 euros c'est peu et pour soutenir le festival et lui donner l'aura qu'il convient de lui donner, il est nécessaire de faire des entrées payantes" ajoute t'il. 
On oubliera pas le rôle de la région qui maintient le festival dans un cadre conforme à sa politique culturelle.
Ce festival est un festival de découverte, sans tête d'affiche, avec des artistes qui ont su éveiller la curiosité des uns et des autres : on pense notamment à Debademba (Abdoulaye Traoré le chanteur burkinabé et Mohamed Diaby, le griot charismatique malien, les tambours de Brazzaville du Congo qui ont éveillé la curiosité de beaucoup d'entre nous).
Qu'importe, le clou du festival reste quand même la vocation de ce dernier à encourager les métissages et les rencontres. Un lien entre trois pays a ainsi été réalisé entre le Sénégal, la France et le Cameroun avec une résidence dans chacun des trois pays pour trois musiciens issus des trois pays et triés sur le volet.
Ainsi, Mougnié Counda, le rappeur sénégalais,  ainsi qu'un artiste camerounais et une chanteuse française ont fait leur résidence en juin à Marseille et iront en novembre au Cameroun après avoir fait le Sénégal cet hiver.
Une façon de montrer que l'idée d'une Union africaine n'est pas morte et que la France aussi en fait partie de manière tout à fait humble, en stricte égalité.
Comme nous le dit Victor Faye qui, en élément de sa génération a très bien compris commet fonctionnait l'union fraternelle entre les peuples : "La panafricanisme doit commencer par le regroupement culturel, pas politique ni économique" pour ne pas reproduire les erreurs que nous bons commises avec l'Union européenne. En Afrique en effet, les individus, lorsqu'ils ne sont pas malencontreusement européennes à vocation post colonisatrice ont de toutes façons l'habitude de mélanger le politique avec le culturel tant le premier fait partie de leur vie. Nulle part ailleurs mieux qu'en Afrique on ressent l'essence même de notre identité d'"hommes debout" soit "homo politicus"au sens que lui donnèrent les grecs sous Athènes. Cette inspiration là vient d'ailleurs d'Afrique d'un temps où l'organisation tribale mettant en avant la démocratie avant toute chose et le respect de chacun remonta jusqu'aux rives de la méditterrannée pour aller effleurer la sensibilité des civilisations situées sur le pourtour méditerranéen.
Et comme nous le dit Victor Faye, l'Union africaine existe déjà depuis longtemps avant même toute velléité de construction politique : "le point commun entre toutes ces cultures, c'est leur diversité hallucinante. Il faut donc, et c'est la vocation des festivals que les gens se côtoient. Aller voir chez son voisin ou s voisine, qu'il soit européen ou africain ou d'ailleurs, faire les choses ensemble.Les musiciens sont les porte voix des Cités".
Et d'évoquer les différents liens entre les festivals qui secouent le continent africain : Nuits métisses, Zig-Zag festival Festibikutsi au Cameroun ou encore "Kolatier" sans oublier les autres Africafête dont celui du Bénin.
Par Noura Mebtouche.

Voir aussi notre blog Papillons, le blog culturel de Respublica :
papillons999.blogspot.com